A l’époque, je trouvais la mode trop compliquée. J’ai eu envie de tout reprendre à zéro en m’inspirant des vêtements de travail. J’ai revisité le pantalon de peintre, la veste de serveur, la salopette de plâtrier…”. L’obsession d’agnès b. : détourner les matériaux de leur utilisation d’origine.


La salopette

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Le vêtement devient de moins en moins un signe d’appartenance.” Emblème par excellence du vêtement de travail : la salopette qu’agnès b. affectionne particulièrement. Depuis toujours, elle ne cesse de la proposer dans des matières et des teintes différentes.


La combinaison

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Autre vêtement faisant parti de l’uniforme du travailleur : la combinaison. agnès b. aime aussi la décliner en version courte.


La veste de travail

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J’ai toujours aimé ce bleu de base du vêtement de travail français.” Initialement porté par les ouvriers, le bleu de travail est adopté par les étudiants à partir de 1968. agnès b. l’intègre à son vestiaire et le transforme en vêtement de tous les jours et pour tous.