Agnès b., une entreprise familiale

Agnès b., une entreprise familiale
Agnès pose avec famille et amis, devant la boutique de la rue du Jour, en 1976. © Brigitte Lacombe

Chez agnès b., les carrières durent et évoluent avec la vie de l’entreprise. Le secret ? L’harmonie.

« On était 3 quand on a ouvert la boutique rue du Jour en 1976. Puis 12, puis ça a grandi. On est plusieurs centaines aujourd’hui. Mais j’ai toujours tenu à maintenir une ambiance saine et bienveillante. Je tiens beaucoup à cette ambiance, et j’aime bien quand on arrive à dénouer des sacs de nœuds. Comment on fait ? On s’installe à bord, comme disait mon père. Il faut savoir ce qui ne va pas. Tout le monde a des vies personnelles, des soucis... J’essaie de rester accessible au maximum, les gens savent qu’ils peuvent me parler.

Les anglais ont cette formule « Looking for harmony », que j’adore. Les mères de famille ont leur mercredi depuis presque toujours. J’ai eu cinq enfants, je sais ce que c’est. Beaucoup de personnes restent et évoluent dans l’entreprise. Louis-Gabriel, un vendeur de la boutique rue du Jour, on l’a connu tout petit, par exemple. Sa mère travaillait au stock pendant les premières années de la marque. »

 

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