Rossy de Palma découvre la collection graffiti

Rossy de Palma découvre la collection graffiti
© Emile Moutaud

Le visage le plus iconique du cinéma espagnol, amie de la maison, se balade dans la collection graffiti « agnès b. » à La Fab. 

Que retenez-vous de cette visite ?

Rossy de Palma : J’ai adoré. J’allais de surprise en surprise, ce qui convient bien à la curieuse que je suis. La culture a un pouvoir thérapeutique sur moi, et cette galerie en est la preuve : elle m’a détendue, c’est une parenthèse enchantée. (Rires.)

Quelles sont les trois œuvres que vous avez préférées ?

RdP : Je dirais le Keep Singing de Jonas Mekas, les Virgins de Cleon Peterson (voir images), et le chef-d’œuvre de Manhu Ripoulin.

Quelle relation entretenez-vous avec le graffiti ?

RdP : J’ai connu les grands graffeurs des années 1980, j’ai suivi leur lutte pour se faire reconnaître en tant qu’artistes. Ils avaient cette image de gens qui salissaient les endroits où ils passaient, alors que c’était tout le contraire ! Ils donnent de la vie à la ville, et j’aime ça. Ils font partie intégrante de mon identité.

Comment décririez-vous agnès b. en une phrase ?

RdP : C’est une héroïne moderne, d’une puissance et d’une détermination impressionnantes, qui a toujours su rester humble et douce.

 

Exergue « Cette galerie est une parenthèse enchantée »